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[CRITIQUE] Fast X : Un suicide collectif pour la famille de Dominic Toretto

Dans nos salles depuis le 18 mai 2023, le onzième film de la franchise Fast and Furious, Fast X, confirme ce que l’on savait depuis le précédent opus, il est temps de tirer un trait sur la famille de Dominic Toretto.

ATTENTION CETTE CRITIQUE CONTIENT DES SPOILERS

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La saga qui assume son côté nanar

Écrire sur la saga Fast and Furious est toujours passionnant. La franchise initiée par Rob Cohen a connu une drôle d’évolution au fil des épisodes. Fast and Furious est une franchise dont on (le public) aime se moquer, mais que l’on aime quand même. Ici nous n’avons pas peur de dire que l’on aime. La saga est devenue en quelque sorte la relève des films Resident Evil de Paul W. S. Anderson.

Durant les années 2000 et 2010, les films avec Milla Jovovich jouaient dans leur propre catégorie. Il y avait les films RE et les autres genres. Les adaptations des jeux de Capcom ne respectaient absolument pas la licence, les effets spéciaux prétendaient révolutionner ce qui avait été fait dix ans auparavant et le marketing vendait les derniers films avec des phrases d’accroche du type « avec la technologie d’Avatar ». Malgré tous ces défauts, il y avait un réel plaisir coupable à regarder les films Resident Evil.

C’est un peu ce qui est arrivé avec la franchise Fast and Furious. Depuis plusieurs années, la saga fait l’objet de mèmes sur internet, notamment avec le personnage « messianique » de Dominic Toretto. Devenu une véritable caricature du héros au fil des films, Dom est un mâle alpha en marcel biberonné à la Corona qui ressuscite les membres de sa famille à tour de bras et qui se retrouve dans des situations qui défient toutes les lois connues de la physique avec un sens de la famille démesuré envié par les Nations Unies.

À chaque film, nous avons hâte de voir ce que nous réserve Dom, c’est de la branlette mais pas intellectuelle. À travers ces lignes, il n’est pas question de critiquer gratuitement une franchise autrefois appréciée pour ce qu’elle était, à savoir des films pop-corn au plaisir coupable, une sorte de manège à sensations fortes. La déchéance de Fast and Furious est le résultat de plusieurs facteurs.

L’évolution de Fast and Furious

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Le casting de The Fast and The Furious.

Fast and Furious est une licence phare pour Universal Pictures. Dès le premier opus, il a été question d’y appliquer la logique de ce qui fait l’industrie du cinéma depuis la fin des années 70, à savoir celle des franchises. Toutefois, la série de films ne pouvait pas répéter à plusieurs reprises ce qui a fait le succès des deux premiers volets, les courses de rues, afin d’éviter la lassitude du public.

Si le premier film est un remake déguisé de Point Break (1991) et No Man’s Land (1987), le second chapitre, qui gagne à être reconsidéré avec les années, est davantage un buddy movie. Malgré ses qualités, 2 Fast 2 Furious (2003) montrait d’ores et déjà les limites de la saga, elle se devait d’évoluer. C’est là que rentre en scène le réalisateur Justin Lin avec « Tokyo Drift ».

En 2006, Lin décide de remanier pour la première fois F&F avec de nouveaux personnages et s’intéresse à une nouvelle discipline des courses de rues tout droit venue des années 1980 au Japon, le drift. Cependant, le film ne convainc pas, même durant les projections tests, c’est pourquoi il a été décidé de proposer un caméo à Vin Diesel à la fin du film afin de le connecter aux épisodes précédents.

Par ailleurs, si nous avons l’habitude de parler de la série de films comme « la franchise de Dominic Toretto », l’ensemble repose essentiellement sur Paul Walker et son personnage Brian O’Conner. Conscients que Paul Walker, et dans une autre mesure son binôme formé avec Vin Diesel, sont les visages de la saga, Universal Pictures et Justin Lin proposent en 2009 un remake déguisé du film original avec le quatrième volet.

Si le quatrième film fait mieux que son prédécesseur, il ne convainc toujours pas le public. La saga est alors une nouvelle fois remaniée avec Fast Five (2011). Le cinquième épisode, qui est en quelque sorte un « Ocean’s Eleven » dans l’univers de F&F, est souvent cité comme le favori des spectateurs. Avec cet épisode qui rassemble tous les personnages des films précédents, F&F semble avoir trouvé sa voie pour devenir une série de blockbusters à succès.

Lin récidive avec un sixième opus avant de laisser les commandes à James Wan pour Furious 7 (2015). Marqué par la disparition de Paul Walker, le septième opus propose plusieurs fulgurances dans sa mise en scène et marque l’arrivée de Jason Statham au sein de la franchise. À ce jour, Fast and Furious 7 est le plus grand succès de la saga. Il se termine par un hommage touchant au comédien Paul Walker en préservant son personnage de Brian O’Conner.

La dérive vers le non-sens

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Luke Hobbs (Dwayne Johnson) et Dominic « Dom » Toretto (Vin Diesel) dans Fast and Furious 8.

Cependant, avec F&F Universal Pictures a de l’or entre les mains et décide de tirer sur la corde. Réalisé par F. Gary Gray, The Fate of the Furious (2017) propose une mise en scène solide, mais signe un nouveau changement pour la saga.

Des courses de rues au film de braquage qui lorgne du côté de l’espionnage, les personnages évoluent désormais dans un univers d’action espionnage à l’international avec des situations qui n’ont rien à envier aux films Marvel. Bien que l’évolution des personnages soit un non-sens, F8 reste un divertissement solide.

En 2021, Justin Lin rempile pour la direction et l’histoire de F9. Il opère un énième changement de la saga qui ridiculise à tous les niveaux la série qu’il avait su relancer. Si nous pensions que la franchise avait atteint ses limites, ce neuvième épisode va bien au-delà. La mise en scène de Lin souffre de la comparaison avec ses deux prédécesseurs et l’histoire est un non-sens total avec un frère caché, Jakob Toretto, un espion devenu mercenaire interprété par John Cena. Quant aux personnages, ils deviennent conscients de ce qu’ils sont.

Le non-sens est devenue la marque de fabrique de F&F. En tant que public nous avons accepté la résurrection de plusieurs personnages ; nous avons accepté que « Tokyo Drift » (2006) se déroule chronologiquement après Fast and Furious 6 (2013), que Han Lue (Sung Kang) ait été finalement tué par Deckard Shaw (Jason Statham) et que sa mort soit à l’origine des évènements de Fast and Furious 7 (2015), mais que finalement il s’agissait d’une ruse orchestrée par Monsieur Personne (Kurt Russell) et que Han revienne vivant dans F9 ; nous avons accepté que Deckard Shaw rejoigne finalement la famille avec des dizaines de morts sur la conscience ; et nous avons accepté, ou pas, que l’épisode 9 nous embarque dans l’espace avec un clin d’œil aux Minions.  Fast X nous demande de faire encore des efforts.

Fast X : Une production chaotique

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Vin Diesel et le réalisateur Justin Lin

Présenté comme le premier volet d’une conclusion en deux parties, Fast X s’avère finalement être le début d’une nouvelle trilogie. La structure du film est aussi captivante que l’évolution de la saga. Si cette critique/analyse vous semble trop longue, vous allez vite comprendre pourquoi il était indispensable de passer en revue tous les aspects. Comme indiqué au début, écrire sur la saga Fast and Furious est toujours passionnant.

Alors qu’il coécrit le scénario avec Dan Mazeau et Zach Dean, Justin Lin assure la réalisation du onzième film de la franchise. Une semaine après le lancement de la production, Lin décide de quitter le poste de réalisateur. Les premières rumeurs évoquent des désaccords entre lui et l’interprète de Dominic Toretto, Vin Diesel. Une information rapidement démentie par Universal Pictures.

La production se retrouve sans réalisateur et le tournage se poursuit avec la seconde équipe. Charlize Theron et Michelle Rodriguez supervisent notamment une scène de combat sans metteur en scène. Le studio confie finalement la réalisation au cinéaste français Louis Leterrier. Entre sa signature et son arrivée sur le plateau, il ne s’est écoulé que quatre jours.

Letterrier révèle par la suite que le dernier acte du film n’était pas bouclé et qu’il a réécrit une partie de l’intrigue lorsqu’il était dans l’avion pour rejoindre la production.

De quoi parle Fast and Furious 10 ?

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L’histoire de Fast and Furious 10 est tout aussi chaotique que la production. Le film débute par des flashbacks de Fast Five, qui montrent les événements du point de vue de Dante (Jason Momoa), le fils du baron de la drogue brésilien Hernan Reyes. Il a préparé sa vengeance pendant douze ans contre Dom et son équipe, qui ont fait tomber son père.

Le film se poursuit dans le présent avec un barbecue des familles chez Dom à Los Angeles. Pendant le repas, l’agence contacte Roman (Tyrese Gibson), Tej (Ludacris), Ramsey (Nathalie Emmanuel) et Han (Sung Kang) pour une mission à Rome. Mais c’est un piège de Dante. Dom part à Rome sauver son équipe, mais Dante les sépare et les fait accuser de terrorisme. Letty (Michelle Rodriguez) est arrêtée et enfermée avec Cypher (Charlize Theron), qui s’était rendue chez Dom pour l’avertir du danger.

Le film introduit deux nouveaux personnages : Aimes (Alan Ritchson), qui prend le contrôle de l’agence, et Tess (Brie Larson), la fille de Monsieur Personne (Kurt Russell) qui décide d’aider l’équipe de Dom. Roman, Tej, Ramsey et Han se cachent des autorités tout en essayant de rejoindre Dom. Letty et Cypher s’entraident pour s’évader de prison. Dom parcourt le globe pour essayer de stopper Dante. Il rencontre Isabel (Daniela Melchior), la sœur d’Elena (Elsa Pataky), lors d’une course de rue au Brésil. En parallèle, Jakob Toretto (John Cena), le frère de Dom, protège le fils de Dom de Dante.

Le film se termine sur un climax où Jakob se sacrifie pour sauver Dom et son fils et sur l’avion de Roman, Tej, Ramsey et Han qui explose après un tir de roquette d’Aimes, qui se révèle être un complice de Dante.

Enfin, deux personnages majeurs de la saga reviennent. En Antarctique, Gal Gadot revient en tant que Gisele dans un sous-marin et vient en aide à Letty et Cypher. Dans la scène post-générique, Luke Hobbs (Dwayne Johnson) reçoit un appel de Dante, qui lui reproche d’avoir tué son père.

Un scénario bâclé et un budget mal utilisé

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Fast and Furious 10 souffre d’un scénario mal écrit qui multiplie les personnages inutiles et les situations répétitives. On passe d’une situation à une autre sans respecter une quelconque cohérence. Le duo comique formé par Roman (Tyrese Gibson) et Tej (Ludacris) devient un quatuor avec Ramsey (Nathalie Emmanuel) et Han (Sung Kang), mais ces quatre personnages n’apportent rien à l’histoire. Han, l’un des favoris des fans, est presque muet et n’apparaît que quelques minutes à l’écran.

D’autres personnages sont présents pour faire de la figuration, comme Tess (Brie Larson), Aimes (Alan Ritchson), Cipher (Charlize Theron) et Isabel (Daniela Melchior). Même Mia Toretto (Jordana Brewster) n’a qu’un rôle secondaire, sans ses enfants et évidemment sans Brian. Jakob Toretto (John Cena), le frère de Dom introduit dans le précédent opus, change complètement de personnalité et ressemble plus à Christopher Smith de la série Peacemaker en mode babysitteur qu’à un miroir de Dom. Le montage crée l’illusion que le casting est présent tout au long du film, mais en réalité, la plupart des personnages n’apparaissent que pendant 5 minutes.

Quant à Vin Diesel, son interprétation de Dominic est caricaturale et ridicule. Son Dominic Toretto ressemble à un veau en roue libre né d’une fusion de Roy Kent avec Simple Jack (pour ceux qui ont les références). Pourtant, Diesel est nettement capable de briller dans le rôle. L’écriture et les dialogues ne lui rendent clairement pas service. Seul Jason Momoa tire son épingle du jeu dans un rôle d’antagoniste, qui est en quelque sorte un ersatz du Joker à la sauce F&F. Malgré tout, le casting semble y croire puisque leur interprétation transpire la sincérité, ils aiment leurs personnages et jouer ensemble. Chacun s’adapte aux circonstances avec les moyens dont il dispose.

Le film enchaîne les séquences censées être spectaculaires, mais on n’arrive plus à entrer dans l’univers tant il est invraisemblable et ennuyeux. Le film veut faire toujours plus, mais il se plante à tous les niveaux.

Avec son casting digne d’un Avengers Endgame, F10 a coûté la bagatelle de 340 millions de dollars. Un budget qui ne se ressent pas du tout. Les effets spéciaux sont médiocres, ils ont réussi à faire pire que les derniers Marvel. Tout cet argent a servi uniquement à payer des acteurs pour des apparitions éphémères. Le film aurait gagné en qualité et en écriture en se concentrant sur l’entourage proche de Dom avec éventuellement Sung Kang, Michelle Rodriguez, Jordana Brewster et Scott Eastwood face à Jason Momoa. À force de multiplier les personnages, la franchise ne sait plus quoi en faire.

Une absence criante de Paul Walker

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Paul Walker et Vin Diesel dans Fast and Furious 7.

Un des principaux défauts du film est l’absence de Paul Walker, le visage de la saga Fast & Furious. Comme le casting l’a déjà mentionné par le passé et comme nous l’avons également constaté dans le documentaire I Am Paul Walker ainsi que dans la vidéo qui revient sur le succès de la saga F&F, ce sont des films de et pour Paul Walker. C’était lui le passionné d’automobile et c’était lui qui a fait en sorte de réunir plusieurs acteurs pour le cinquième opus, qui s’avère être le plus apprécié.

C’est aussi pour cette raison que la production et le studio ont voulu établir une connexion directe avec le cinquième opus. Non seulement pour trouver quelque chose à raconter, mais aussi pour essayer d’exister à travers l’aura de l’acteur.

Depuis la fin réussie du septième volet, la franchise ne cesse de rappeler que Brian est vivant quelque part, mais cela ne fonctionne pas. Fast X n’aborde pas Brian, si ce n’est à travers quelques photographies des précédents films. Là aussi c’est un échec complet : la production n’a même pas fait l’effort de prendre des images tirées des making-off afin de donner l’illusion qu’il s’agit de photographies « intimes » de la vie du personnage de Brian. Non, toutes les photos sont des captures d’écran des précédents opus. Des photos tirées d’événements où dans l’univers du film personne ne pouvait prendre les dites photos. C’est tellement ridicule que cela détruit l’hommage intelligent du septième film.

Garder le personnage de Brian en vie à la fin de Furious 7 était une manière de rendre hommage à l’acteur. De plus, cela aurait pu être une conclusion parfaite pour l’intrigue principale. En revanche, le fait de continuer la saga en maintenant Brian vivant et en multipliant les hommages empêche les films de se détacher de lui.

Les premières minutes de Fast X montrent le fils de Dom, baptisé Brian (un hommage du huitième opus), faire du drift avec la voiture de son père là où le personnage de Paul Walker a été introduit dans le film original, le parking du Dodger Stadium. Meadow Walker, la fille de l’acteur, fait une apparition de quelques secondes. Plutôt réussie, le cameo se veut respectueux et digne. Il se fait sur le thème musical de Brian et Mia entendu dans Furious 7 afin de bien indiquer au moins réceptif du fond de la classe que cette scène anecdotique a un lien avec Paul Walker.

Le problème ne réside pas dans les hommages rendus à l’acteur, mais dans le fait qu’ils sont appuyés et que son personnage est bel et bien vivant dans l’univers, mais qu’il n’apparaît pas. Ce qui crée une incohérence et un manque dans l’histoire.

Une fin annoncée mais repoussée

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Fast X ressemble à un mauvais prologue pour une conclusion qui se fait attendre avec encore plus d’erreurs d’écritures que l’opus précédent. On pourrait penser que l’ego trip de Vin Diesel est responsable de tous les défauts de cet épisode, mais il n’est pas le seul fautif.

Tout ce que ne va pas dans ce film sont des éléments qui ont déjà été identifiés dans le précédent, également écrit par Justin Lin. Fast and Furious 10 porte indéniablement la signature de Lin qui n’a pas réussi avec l’épisode 9 à relancer la machine. C’est pourquoi on n’est pas surpris d’apprendre que la saga va continuer avec non pas un, mais deux films supplémentaires afin d’apporter une conclusion satisfaisante.

Clairement, Universal Pictures sait que Fast X est un échec que Louis Letterrier a tenté de rattraper comme il le pouvait. C’est pourquoi ils ont annoncé, plusieurs semaines avant la sortie, que le réalisateur reviendrait pour Fast and Furious 11 avec deux nouveaux scénaristes, Christina Hodson (The Flash) et Oren Uziel (The Cloverfield Paradox). Le studio est définitivement conscient qu’il faut relancer la saga pour mieux dire au revoir à cette génération de personnages.

Depuis le neuvième épisode : le plan du studio devient de plus en plus clair et les lignes de dialogues de Fast X tendent à confirmer : le studio souhaite véritablement apporter une conclusion satisfaisante à l’histoire actuelle mais elle souhaite aussi la poursuivre avec une nouvelle génération de comédiens. Si le prochain film est attendu sur nos écrans pour 2025, Fast 12 pourrait débouler d’ici 2027.

Comme nous voyons les choses, Universal Pictures va très clairement continuer avec un spin-off féminin et « rebooter » la saga avec un legacy sequel d’ici 2030 qui mettra en scène les enfants de Dominic et Brian : Brian Marcos Toretto, Jack Toretto O’Connor et Mia O’Connor : en début de vingtaine. Un moyen de relancer la franchise avec un nouveau casting tout en conservant un lien et un héritage avec les précédents interprètes et des apparitions possibles des anciens acteurs.

Pour terminer, si The Fate of the Furious était archi caricatural, il n’en restait pas moins un solide divertissement dont l’écriture respectait un minimum les personnages. Ce nouvel épisode parviendra sans doute à divertir certains spectateurs, mais que l’on ne s’y trompe pas, Fast X ne respecte ni ses personnages, ni son public. Cependant, nous sommes curieux de voir la suite. Il semble qu’il y ait une réelle volonté de remanier la saga. Le fait que Louis Letterrier soit impliqué dès le début de la production du prochain opus avec deux nouveaux scénaristes est clairement l’occasion d’apporter un petit vent de fraîcheur au sein de la franchise.

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RÉSUMÉ

Un dicton affirme qu’on choisit ses amis, mais pas sa famille. Avec Fast X, vous n’aurez envie de choisir ni les uns ni les autres.

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Thomas
Thomas
Rédacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des années 80's / 90’s biberonné à la Pop Culture.

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