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[CRITIQUE] The Light Of my Life : Quid d’un monde sans femmes ?

Deuxième réalisation pour l’acteur Casey Affleck avec The Light Of My Life. Interprète également dans son film, il est accompagné des acteurs Anna Pniowsky, Tom Bower, et Elisabeth Moss. Récit d’un conte survivaliste.

The Light Of My Life de Casey Affleck est attendu pour le 12 août au cinéma.

Le règne des hommes

La trame n’est pas l’une des plus originales, puisque d’autres films comme The Road, Les Fils de l’Homme, Freaks, ou encore le jeu vidéo The Last Of Us ont traité ce sujet-là sous une histoire et un angle différents. Ici, pas de virus, pas de zombies, pas d’aliens mais un peuple gouverné par des hommes, dont les femmes ont été éradiquées.

Rag, interprétée par Anna Pniowsky, est une jeune fille devant faire face au danger, aidée par son père; Le cadre est post-apocalyptique comme l’était le premier Mad Max avant ses suites.

Le désespoir, la peur d’un père, de l’inconnu même dans un monde sans vie.

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Survivre avant tout

Bien que longuet par moment – 2 heures au total – , Casey Affleck n’invente rien. Sa mise en scène est banale, et lente; La justesse des plans fait qu’il ne passe pas réellement grand-chose hormis quand il s’agit uniquement de Rag et son père. Leur relation et échanges – par le biais de dialogues bien écrits et les dix premières minutes hypnotiques par exemple – sont très bons; à chaque fois il se passe quelque chose.

Casey dirige l’actrice Anna Pniowsky avec beaucoup de justesse, qui on le rappelle n’est pas un exercice évident. Dommage que son traitement sur les conséquences d’une population sans femmes n’ait pas été plus loin. L’affrontement final est assez tendu, dénué de bande-son, avec quelques échanges bien violents.

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Conclusion

Il est certain que The Light Of My Life ne marquera pas les esprits mais force est de constater que Casey Affleck, comme son frère, est un bon réalisateur. Un survival post-apocalyptique classique.

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RÉSUMÉ

Pour le peu qu'il en montre, Casey Affleck arrive à susciter notre intérêt en visant juste. Oubliable mais pas inintéressant en soi.

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François
François
Grand fan de Batman, d'Alien et d'Halloween. Il vit dans sa grotte, mais reste toujours à l'écoute de l'actualité cinématographique. Disponible à plein temps, il réagit plus vite que son ombre. Il déteste la langue de bois, et n'hésite pas à descendre les films surestimés.

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