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Adopte un Créatif : Interview avec Valentine de Val so Classic

Laissons les tendances de côté et intéressons-nous à l’originalité. Avec Adopte un Créatif, vous allez découvrir des passionnés, des créatifs, des youtubeurs / youtubeuses méconnu(e)s qui font l’actualité du web. Pour ce nouveau numéro, je suis parti à la rencontre de Valentine derrière la chaîne ‘Val so Classic’.

Avec sa chaîne ‘Val so Classic’, Valentine nous invite à la découverte du monde merveilleux de l’opéra, des instruments et de la musique classique comme nous ne l’avons jamais vue. Une invitation à voyager en musique à travers le monde. Rencontre avec une créative mélomane.

Bonjour Valentine, merci de participer à notre chronique ‘Adopte un Créatif’. Dans le cas où il y aurait des internautes ignorant ton actualité peux-tu te présenter et nous rappeler ton parcours ?

Valentine : Je m’appelle donc Valentine (‘Val’ pour beaucoup) et je suis née en Belgique il y a une bonne vingtaine d’années. A l’âge de 2 ans, mon père m’a emmenée voir mon premier opéra : c’était Aïda de Verdi et il y avait des éléphants dans la mise en scène (élément déterminant qui m’a sans doute entraînée dans ce monde étrange). Depuis, je vais régulièrement à l’opéra mais, aussi, écouter des concerts de musique classique (mais aussi rock, pop, jazz…). La musique – et la scène de façon générale – fait partie intégrante de ma vie.

Quand j’étais petite (dans le sens ‘jeune’ parce que, niveau taille, je mesure 1m54 donc je serai toujours et à jamais ‘petite’), j’ai appris le piano, le chant et j’étais passionnée de théâtre. J’ai d’ailleurs commencé ma carrière de comédienne à 16 ans en jouant dans une pièce de Jean Anouilh puis une de Molière, une adaptation du Nom de la Rose, Les Misérables… et aussi fait du cinéma !

Parallèlement à cette carrière artistique, j’entame des études universitaires : d’abord un bachelier (licence) en histoire de l’art et archéologie puis un master en musicologie. Ensuite, j’ai voulu aller me former en cinéma (acting, réalisation, mise en scène et écriture) et je suis allée étudier deux ans à Paris. Il ne me restait plus qu’à faire quelque chose avec tout ce bagage !

On dit souvent que ‘Choisir c’est renoncer’. Mais, heureusement, je pense que c’est un peu plus complexe que ça. Dans mon cas, je n’ai pas eu envie de choisir entre mes passions pour la musique, la scène, le cinéma… Et j’ai eu l’idée de tout fusionner dans un projet : Val so Classic.

Quelle est ta toute première expérience avec internet ?

Valentine : La ‘toute’ première… Je ne sais pas si c’était la première mais, comme toutes les personnes nées dans les années 1990’, je pense que MSN a marqué mes débuts dans l’Internet mondial !

Je pense que j’ai eu un ‘skyblog’ aussi (rires). Je serais curieuse de le revoir aujourd’hui ! Et je me souviens aussi quand je me suis inscrite sur Facebook en 2008… Très vite, je me suis rendue compte que je n’aimais pas Internet : ce côté où tout le monde expose sa vie, la facilité de trouver tout et n’importe quoi, un nouveau business qui fait le bonheur des uns et le malheur des autres… Un dilemme s’est alors présenté à moi : ne pas suivre la norme et ignorer Internet (et me marginaliser) ou profiter d’Internet comme d’un outil de communication et en faire mon boulot ! J’ai choisi la seconde option.

Présente-nous ton univers :

Valentine : Mon univers …. Il est vaste et en constante expansion ! Donc, impossible de tout explorer mais commençons par le nom de ma chaine, qui est aussi devenue mon pseudo : Val so Classic. Je voulais clairement distinguer Valentine Jongen (comédienne, musicienne, réalisatrice) et la créatrice de contenu sur Internet : Val so Classic. Ce nom je l’ai imaginé en me disant qu’il fallait que ce soit à la fois une partie de moi-même (donc mon surnom ‘Val’) et une partie de mon sujet (la musique classique donc ‘classic’). Comme je trouvais ça plus cool de relier les deux avec une petite particule, j’ai choisi le ‘so’ qui est ‘so années 2000’’.

Ce qui est marrant, c’est que beaucoup de gens ne connaissent pas mon vrai nom. Je reçois donc régulièrement des messages très professionnels du genre ‘Bonjour Val, j’aime beaucoup ce que vous faites’. Et ce décalage entre mon surnom et le vouvoiement me fait toujours rire ! Ce qui est aussi pas mal, c’est les gens qui m’appellent ‘Val so’ ! Ça me fait un peu penser au rappeur Damso mais en version classique, j’aime assez bien l’idée.

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Qu’est ce qui t’a donné ta vocation ?

Valentine : J’adore ce mot ‘vocation’ ! Pour moi, ça sonne toujours un peu religieux : la vocation c’est l’appel pour s’engager dans les ordres, pour intégrer une communauté ou un groupe, suivre des règles… Or, j’ai l’impression d’être un peu la seule à faire ce que je fais et je peux écrire mes propres règles. Ce qui m’a poussé à me lancer c’est surtout un manque : je trouvais qu’il n’y avait pas de chaine cool et moderne sur la musique classique. Alors, plutôt que de parler de ‘vocation’ j’utiliserais même le mot ‘révélation’.

J’ai toujours eu l’impression d’être la plus jeune à aller à l’opéra ou au concert, mes camarades de classe se moquaient de moi mais plus par ignorance que par méchanceté et, un jour, je me suis rendue compte qu’il existait plein de supers jeunes musiciens qui pourraient devenir mes alliés pour dépoussiérer tout ça !

Quelle a été la réaction de tes proches ?

Valentine : C’est mon père qui m’a initiée à l’opéra donc, lui ça ne l’a pas surpris ! Je pense juste qu’il s’est pas mal demandé comment j’allais vivre de ça… Quant à ma mère, je pense que c’est ma plus grande fan (comme toutes les mamans) : elle connaît mieux que moi mon nombre d’abonnés et de vues. Mes parents me soutiennent vraiment, ils corrigent mes scripts, voient et corrigent mes vidéos avant publication. J’ai vraiment de la chance.

J’ai trois frères aussi dont un qui commente quasi systématiquement (histoire d’améliorer mes statistiques merci frangin) et les deux autres sont pas mal connectés donc ils me suggèrent d’autres chaines à regarder ou pour des collaborations.

Parfois, je rencontre des YouTubeurs qu’ils adorent et, là, je sens leur admiration… c’est cool, parce que moi aussi je les admire dans ce qu’ils font. C’est super important d’avoir le soutien de ses proches je trouve, surtout dans ce genre de milieu.

Quand j’ai des commentaires négatifs, insultants voire rageux, j’envoie toujours une capture d’écran à mes frangins et on en discute ! Au final, je supprime ou je ne réponds pas et mes frères m’aident à encaisser, et ça fait du bien.

Quelle sont tes sources d’inspiration ?

Valentine :Mon modèle niveau chaine de vulgarisation musicale c’est, évidemment, Monsieur PV Nova ! C’est un très bon musicien mais il a aussi un regard pertinent et une excellente capacité d’analyse dont je m’inspire beaucoup.

Niveau vulgarisation, j’admire aussi beaucoup Léo Grasset de la chaine Dirty Biology. Il arrive à proposer des vidéos d’une grande qualité avec une très bonne recherche scientifique, des raisonnements vraiment intéressants et touche un public super large ! Franchement respect.

Après, en tant qu’auteure et réalisatrice, je m’inspire beaucoup de chose : depuis toute petite, je suis bercée par le duo Thierry Loreau et Pierre Barré qui ont récemment fait la série ‘Jeunes solistes, grands destins‘, je suis une fan de l’émission suisse ‘Passe-moi les jumelles, j’adore l’univers de Coco de la chaine ‘Nébuleuse et cacao‘, je suis aussi des artistes très connectés comme la soprano Julie Fuchs ou le contreténor Jakub Józef Orliński.

Quelle est ta première expérience de tournage ? Comment cela s’est passé ?

Valentine : Ma toute première expérience, c’était un petit rôle dans un long-métrage de Lucile Hadzihalilovic avec Marion Cotillard. Elle n’était pas encore internationalement connue mais je l’admirais avec de grands yeux du haut de mes 10 ans ! C’était la première fois que je découvrais l’univers merveilleux du cinéma : l’envers du décor… C’était fascinant et je me suis promise de recommencer.

Une dizaine d’années plus tard, j’ai vécu ma plus ‘grosse’ expérience de tournage puisque j’étais au casting d’une série belge ‘Esprits de famille‘. Le tournage a duré plus de 3 mois et ça a vraiment été l’occasion pour moi d’observer, de comprendre et d’apprendre. À ce moment-là, j’étais loin de me douter que, quelques années plus tard, je me retrouverais à diriger mes propres projets !

Quel a été ton meilleur moment de réalisation ? Le pire ?

Valentine : ‘Le meilleur reste à venir‘ comme on dit ! Il y a encore quelques mois, jamais je n’aurais imaginé porter la casquette de ‘réalisatrice’ mais, finalement, je me retrouve aujourd’hui à diriger et réaliser deux gros projets : un documentaire sur Beethoven et ma série ‘Interlude‘.

Quand j’étais petite, je mettais en scène mes petits frères dans des pièces de théâtre que j’écrivais et dans lesquelles je jouais (vive le cumul des fonctions) ! Durant mes études de musicologie, j’ai fait des stages en mise en scène d’opéra avec de Stefano Mazzonis di Pralafera, Jean-Louis Grinda et Claus Guth. Mais, je ne m’imaginais pas mettre en scène avant longtemps !

Après, j’ai réalisé qu’envisager de mettre en scène un opéra (une œuvre imposante, composée et écrite par des génies et interprétée par des artistes beaucoup plus expérimentés que moi), c’était différent de réaliser mes propres vidéos. Parce que mes projets, je les écris, je les imagine et je sais très exactement comment les défendre, pourquoi et ce que je veux partager avec les gens.

Récemment, tu as proposé une analyse de Star Wars intitulée ‘Star Wars : Quand l’Opéra scelle le destin de la galaxie’. La vidéo revient sur une scène majeure de la saga, trop souvent sous-estimée. Une analyse pertinente qui m’a permis de me faire une autre idée sur le film de Lucas. As-tu eu des retours similaires de la part des fans de Star Wars ?

Valentine : Oui, j’ai eu plein de retours assez positifs de gens qui me disaient ne jamais avoir vraiment considéré cette scène. Sans divulgâcher l’entièreté de la saga, cette scène entre Palpatine et Anakin dans l’épisode III prend d’autant plus de sens quand on la met en miroir avec l’épisode IX (L’Ascension de Skywalker) puisqu’on comprend que cette scène à l’opéra est vraiment un pivot majeur de la prélogie.

Après Pretty Woman et Star Wars, penses-tu étendre ce type d’analyse à d’autres films ? Je pense par exemple à une séquence culte du Cinquième Elément.

Valentine : Évidemment ! ‘Interlude’ a été pensé comme une série. L’épisode sur Pretty Woman était un pilote que j’ai présenté au FRAMES Web Video Festival avec lequel j’ai remporté le prix de la vulgarisation.

Suite à ça, le label Pandora Création (qui produit aussi Le Fossoyeur de Films, Axolot…) m’a proposé de faire un deuxième épisode (celui sur Star Wars) pour voir si on pouvait éventuellement travailler ensemble sur ce projet. Et, comme ça s’est bien passé, on a décidé de lancer la production d’une saison complète.

En tout, il y aura 12 épisodes dans cette première saison d’Interlude (on va donc en tourner 10 dans les mois à venir). Je ne veux pas en dire trop mais, il y aura évidemment un épisode sur la scène à l’opéra dans ‘Le cinquième élément‘ !

Quelles sont, dans tes vidéos, celles qui te semblent les plus intéressantes, qui te tiennent le plus à cœur, et pourquoi ?

Valentine : Question difficile… Je pense que, si j’ai autant de vidéos et de formats différents sur ma chaine, c’est justement parce qu’ils expriment tous une part de ma curiosité et une facette de la musique que j’ai envie de faire découvrir au public. C’est surement dans les vlogs que je partage le plus mon quotidien et avec toutes les vidéos de rencontres (invités opéras, instruments de musique…) que c’est le plus intéressant car il n’y a pas que ma vision mais, aussi, celle d’un autre créatif !

Je dirais que chaque vidéo est intéressante et me tient à cœur au moment où je la travaille : de l’écriture au montage en passant par le tournage, je suis à fond dans chaque capsule. Si ce n’était pas le cas, la vidéo ne sortirait simplement pas… et ça m’est déjà arrivé : parfois, je trouve l’angle abordé pas assez intéressant ou je manque de cœur à l’ouvrage. Dans ce cas-là (c’est rare mais ça arrive), je ne publie pas la vidéo et je la garde pour moi en me demandant comment l’améliorer pour plus tard.

Quel(s) conseil(s) donnerais-tu aux jeunes créatifs qui souhaitent partager leurs univers sur la toile ?

Valentine : Je pense que mon conseil serait ‘Soyez passionné’ ! C’est un peu cliché mais, je suis certaine que si ce dont on parle nous passionne vraiment, on ne perdra jamais l’envie de partager. Il faut créer pour soi-même avant de le faire pour la reconnaissance des autres. Si on aborde un sujet qui nous passionne vraiment et qu’on le fait honnêtement et avec notre cœur, on ne pourra jamais se tromper. C’est valable dans tous les arts selon moi ! Faire une vidéo c’est comme jouer de la musique : d’autres pourraient le faire aussi, mais si on y met notre propre personnalité, notre interprétation et notre fougue, le résultat sera unique. Même si on traite d’un sujet qui a déjà été abordé cent fois, ce qui compte, c’est d’apporter un nouveau regard sur ce dont on parle.

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Si tu pouvais adresser un message à toi-même à l’âge de 10ans, lequel serait-ce ?

Valentine : Je me dirais ‘Toutes les galères, les rejets, les blessures mais aussi les découvertes et les partages que tu vis aujourd’hui sont en train de construire qui tu seras demain. Alors, vis-les à fond parce que ça te nourrit et ça t’apprend à vivre !

Que ferais-tu avec un budget digne d’un blockbuster ?

Valentine : Je tournerais une grosse série de vidéos de cours de musique (solfège, histoire, analyse). Histoire que chacun puisse avoir les bases de la musique classique depuis chez lui, quelque soit son âge ou son milieu social. J’engagerai d’autres musicologues pour m’aider à bien faire mes recherches, de jeunes musiciens pour illustrer les propos ainsi qu’un graphiste en animation pour faire des visuels super interactifs ! Je fais déjà un peu ça sur ma chaine aujourd’hui mais avec trop peu de temps et trop peu d’argent.

Nous faisons appel à ton esprit créatif. A toi de nous proposer quelque chose et de commenter.

Valentine : J’ai toujours été fascinée par le feu : écouter le bois crépiter, regarder les braises rougeoyantes dans la cheminée ou bien fixer la flamme d’une bougie… Autrefois, la musique se lisait à la lueur des chandelles alors je trouve cette lumière magique. J’ai pris cette photo en décembre 2019, à Noël. C’était comme une mise en abîme…

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Tu le sais, notre thématique est la Pop Culture. Que signifie pour toi la culture populaire ?

Valentine : La culture populaire c’est, selon moi, la culture ‘du peuple’ mais sans connotation péjorative. C’est la culture accessible à tous et qu’un peuple partage. Ce qui est intéressant, c’est que, selon la culture justement (selon la région, le pays ou même le continent mais aussi l’époque), la ‘culture’ peut englober des choses très différentes.

Quelles sont tes œuvres de référence dans la Pop Culture ?

Valentine : Il y en a beaucoup… Au cinéma, je citerais par exemple des grandes sagas ou films cultes : Harry Potter, Star Wars, Les Visiteurs, La Cité de la Peur, OSS 117, Dikkenek (Belgique oblige (rires))… Comme jeux vidéos, je ne suis pas une grande gameuse mais, évidemment, j’ai joué à Rayman, aux Sims ou à Mario Kart… En BD je suis une fan inconditionnelle de Tintin et, enfin, en musique je peux clairement affirmer que j’écoute de tout : classique, rock, pop, rap, RnB, électro… Autant la pop culture que la ‘musique de niche’.

Et quelles sont tes attentes ?

Valentine : Et bien… Je ne suis pas sûre d’avoir vraiment des attentes. J’aime bien être surprise ! D’autant que, avec la crise culturelle qu’on vit actuellement suite au Covid19, la seule chose que j’attends c’est que la culture puisse reprendre ses droits.

Un mot sur ton actualité ? Tes projets en cours ?

Valentine : A nouveau, le Coronavirus bouleverse un peu tout mais, à priori, je vais tourner un documentaire sur Beethoven cet été (qui devrait sortir à l’automne) et je prépare aussi la saison 1 d’Interlude.

A quel autre créatif souhaiterais-tu voir poser ces questions ?

Valentine : Il y a quelques mois, j’ai rencontré Marie de la chaine Mary Cherry ! Je suis devenue complètement fan de son travail. Elle imagine des gâteaux de folie mais son univers est bien plus large ! En novembre, elle a organisé une Tea Party sur le thème d’Alice au pays des merveilles ! Tout était dans le thème : les pâtisseries (évidemment), la déco, les costumes… C’est une vraie créative autant dans sa cuisine qu’en vidéo et sur les réseaux sociaux !

As-tu beaucoup de retour des personnes qui te suivent ?

Valentine : Franchement oui ! Je suis moi-même surprise de recevoir autant de retours positifs. C’est souvent des fans de musique classique qui sont heureux de ne plus être seuls ou bien des institutions, des événements ou des musiciens qui encouragent mon projet. C’est très motivant !

Tes abonné(e)s te soufflent des idées parfois ?

Valentine : Oui, les gens m’écrivent régulièrement avec des idées mais, la plupart du temps, ce sont des idées que j’ai déjà prévues mais que je ne peux pas réaliser tout de suite, faute de temps et/ou de moyens !

Que voudrais-tu dire à tous tes abonné(e)s et aux prochains ?

Valentine : Je dirais à toutes les personnes qui me suivent déjà où qui me découvrent ‘Merci d’être curieux’ !

Pour terminer, quelle question aurais-tu souhaité que l’on te pose et qu’aurais-tu répondu ?

Valentine : Ça m’a manqué de parler de bouffe (rires) J’adore allier les plaisirs et je trouve que musique et cuisine se marient très bien ! J’ai déjà fait une vidéo sur le sujet et j’adorerais en faire d’autres. Donc, j’attendais la question ‘Quel est ton plat préféré et/ou qu’est-ce que tu aimes le plus cuisiner ?’ et j’aurais répondu que j’adore manger des lasagnes (et les pâtes de façon générale) et que je fais très bien le risotto.

Encore une fois merci Valentine d’avoir participé à Adopte un Créatif.

Valentine : Merci à toi pour tes questions et merci à toutes les personnes qui ont suivi le fil de cette conversation !

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Propos recueillis par Thomas O. pour Eklecty-City.fr, qui remercie Valentine de s’être prêtée au jeu d’une interview. Crédits photos Élisabeth Van Hecke.

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Thomas
Thomas
Rédacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des années 80's / 90’s biberonné à la Pop Culture.

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2 Commentaires

  1. Très bon article sur ma fille!… (et oui, je suis sa maman, sa première et son inconditionnelle première fan )
    Votre interview est assez complète et, grâce à vos questions, Val a pu partager des choses qu’elle partage rarement et qui font aussi d’elle ce qu’elle est aujourd’hui (le soutien de ses frères par ex… ).
    Et puis quelle bonheur de ponctuer votre article de photos et de liens YouTube!
    Il reste un projet dont Val n’a pas parlé (mais c’était peut-être volontaire de sa part), c’est son spectacle : un concert/spectacle musical et poétique qui a été créé fin 2019 et dont la tournée dans les salles été interrompue à cause de la crise sanitaire…
    Un tout grand bravo à vous et merci pour votre travail. Bien à vous!

  2. Cette gamine est merveilleuse ! (oui, je l’appelle « gamine » parce que j’ai l’âge de son grand père)
    Je comprends enfin pourquoi j’aime tant la musique dite « classique » (ah, J.S.Bach !)
    Longue vie à ses videos

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