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[CRITIQUE] Resident Evil Afterlife 3D

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Notre critique de Resident Evil Afterlife 3D arrive avec quelques jours de retard, initié en 2002 par Paul W.S. Anderson le réalisateur revient derrière la caméra pour cette nouvelle adaptation de la célèbre franchise vidéoludique, qui sera dans nos salles dès le 22 septembre avec Milla Jovovich, Ali Larter, Kim Coates, Shawn Roberts, Sergio Peris-Mencheta, Spencer Locke, Boris Kodjoe et Wentworth Miller.

Synopsis : Dans un monde ravagé par un virus, transformant ses victimes en morts-vivants, Alice continue sa lutte à mort avec Umbrella Corporation. Elle poursuit son voyage à la recherche de survivants et d’un lieu sûr où les mener.
Cette quête les mènent à Los Angeles mais ils constatent très vite que la ville est infestée par des milliers de morts-vivants. Alice et ses compagnons (dont un vieil ami inattendu) sont sur le point de tomber dans un piège d’Umbrella.

Pour commencer reprenons une citation de nos confrères de chez filmsactu, qui en dit long :

« Il y a plusieurs catégories de films. Entre autres les chefs d’œuvres, les bons, les moyens, les mauvais…Et puis il y a Resident Evil : Afterlife »

Depuis 2002, a chaque Resident Evil on espère une œuvre digne des jeux-vidéo, fan de la première heure en particulier des trois premiers sur Playstation, je fais partie de ceux qui ont plus ou moins lâché la saga depuis Resident Evil : Code Veronica et RE4

Quoi dire sur cette quatrième adaptation ?

– Prenez 28 jours plus tard (et encore on est gentil), Matrix, quelques idées des jeux, mixez le tout et vous obtiendrez un Matrix-Like avec des Zombies, et du bullet-time à gogo, les effets spéciaux sont maîtrisés mais dépassés, limite grotesque !

(Anna) ça avait si bien commencé ! Le film s’ouvre sur une scène d’ouverture à l’action matrixielle jouant à mort sur les effets 3D. On en prend plein les mirettes même si les scènes en deviennent ridicules.

– Les personnages sont mal exploités, seule « Alice » est vraiment mise en en avant et le moindre que l’on puisse dire, Milla Jovovich s’implique dans son personnage, on en aurait aimé autant de la part des autres acteurs, qui à parlé de Wentworth Miller ?
« Gueule d’Ange » à fait un mauvais choix en signant pour le rôle de Chris Redfield, honnêtement j’ai eu l’impression d’assister à un crossover entre Prison Break et Resident Evil

(Anna) Le film penche de part ses dialogues vers l’humour mais le jeu d’acteur reste des plus sérieux. Il y a un décalage qui perturbe, doit on prendre au sérieux l’histoire ou seulement se marrer. Que fait Wentworth Miller ici ! Son entrée est ratée, pire, son rôle est des plus stupides. On voit que l’acteur ne brille pas dans ce rôle ce qui est fortement regrettable car cet acteur promet une futur belle carrière et surtout fera parler de lui bientôt avec des projets de réalisation.

Sienna-Guillory-Jill-Valentine-Resident-Evil-Apocalypse

– On nous avait promis le retour de Sienna Guillory vue dans Resident Evil : Apocalype avec le personnage de Jill Valentine, que nenni, il vous faudra attendre la fin du générique pour assister à 30 secondes de scènes avec l’actrice.

– Il faut convenir d’une chose, les « Original Soundtrack » des quatre films regroupent les plus grands groupes de Metal/Hard Rock, derrière « Afterlife » nous retrouvons également le groupe de musique électronique tomandandy.

– Bien que les critiques du monde entier soient unanimes avec Resident Evil: Afterlife, qui est un nanar, le film cartonne au Box-Office US avec 27,7 millions après trois jours d’exploitation, on parle déjà d’un cinquième film bien qu’un reboot « Resident Evil : Begins » de la franchise plus fidèle au jeux était prévu avec une nouvelle équipe.

(Anna) Resident evil AfterLife est un repompage de scènes issues des meilleurs films de zombies de Romero et même du jeu vidéo éponyme, ainsi que de Silent Hill. C’est hors contexte !

– Difficile pour ma part de donner une note au film qui est classé dans une catégorie propre aux films Resident Evil, « nanar de qualité pop-corn ».

(Anna) Je pense que REA voulait être un bon blockbuster qui ne se torturait pas l’esprit et qui voulait être fun, mais même cela a raté. On aurait pu passer un bon moment mais la sauce ne prend pas !  Ce n’est juste qu’un tremplin pour le prochain film prévu par Anderson. Passez votre chemin !!! 01/10

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Thomas
Thomas
Rédacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des années 80's / 90’s biberonné à la Pop Culture.

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6 Commentaires

  1. Je suis totalement d’accord, je viens de le voir et j’avoue que je me suis bien marré, cette vidéo des vacances de Milla à Zombieland est franchement hilarante !

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