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Interview avec Jokerock l’interprète du Joker dans Le Réveil

Cette semaine nous avons découvert le court-métrage « Le Réveil – The Awakening » mettant en scène l’ennemi juré de Batman, le Joker. Visuellement réussi ce court-métrage français nous a impressionné notamment avec les interprétations du Joker et de Harley Quinn respectivement joué par Jokerock et la sublime Lison Lavoie.

Le Réveil est réalisé par Hugues Puyau à qui nous devons le moyen métrage consacré à Superman, Man of Tomorrow. Depuis sa mise en ligne, le réalisateur et son équipe souhaite lancer un univers étendu de courts-métrages regroupés sur la chaine DC Shorts. Le Joker du fan film « Le Réveil » reflète clairement ce que nous souhaitons voir au cinéma, un Joker cruel, malin et très très borderline. Nous avons souhaité poser quelques questions à Jokerock tant il semble saisir l’essence même du personnage, et nous devons vous avouer que nous ne sommes pas déçu de cette rencontre. Vous allez comprendre durant la lecture de notre entrevue que Jokerock n’a pas joué le Joker, il est tout simplement resté lui-même… Nous avons véritablement rencontré le Joker !

Bonjour Jokerock, tout d’abord merci à toi de nous avoir accordé cette interview. Avant de débuter peux-tu te présenter ?

Jokerock : Ok. Jokerock, 25 ans, né à Brest, je vis à Rennes en Bretagne. Je suis poète, et je ramifie ma poésie à travers l’écriture, le cinéma et la musique. J’écris des recueils de poèmes, des articles sur un blog ou dans des magazines, et bientôt un livre. Je crée mon propre style de cinéma, que j’ai appelé la cinémagie, j’en suis bientôt à mon troisième film. J’écris, compose, chante et interprète des chansons. J’aime vivre nu. Surtout en public.

Nous avons parcouru ton univers et nous avons remarqué que tu es un touche à tout, de la comédie à la spiritualité en passant par la philosophie. En somme le candidat idéal pour le rôle du Joker (rires). Peux-tu nous en dire plus ?

Jokerock : Je m’intéresse à ces sujets depuis que j’ai 12 ans. La philosophie me donnait des excuses pour justifier les conneries que je faisais. Quand je me branlais en public, par exemple, je disais que je faisais comme Diogène de Sinope, qui se masturbait devant tout le monde pour dire : le plaisir est à portée de la main, et c’est quand vous voulez, où vous voulez. Quand je m’habillais en femme, ou que je dansais sur les tables des bars en faisant des envolées lyriques, je disais que je faisais comme Aristippe de Cyrène. Quand je m’opposais à toutes les valeurs établies, pour créer les miennes propres, je disais que je faisais comme Friedrich Nietzsche. Etc ! Mais j’avoue qu’aujourd’hui je me renseigne sur la philosophie, la spiritualité ou l’ésotérisme, pour savoir ce qu’il ne faut pas faire : je veux créer ma propre façon de vivre, mes propres images, et pour ça, je dois savoir ce que les autres ont déjà fait. Puis je n’ai plus besoin d’excuses pour me déguiser en clown et poursuivre les gens dans la rue en criant avec un grand couteau de cuisine à la main, aujourd’hui. J’ai mûri !

Est-il juste de dire que tu es sans cesse dans l’expérimentation ?

Jokerock : Non. Il y a deux choses qui me sont étrangères : l’expérimentation et la provocation. Disons que j’accomplis mes désirs tels qu’ils se présentent, sans but. C’est plus de l’expression libre, je ne cherche pas l’expérience, ni l’expérimentation, ni à interpeller l’esprit des gens. C’est ludique et spontané. Je considère que je n’ai rien à apprendre, mais seulement tout à déployer.

Nous nous rencontrons aujourd’hui pour parler de ton interprétation du Joker dans le court-métrage « Le Réveil ». Comment es-tu arrivé sur le projet ?

Jokerock : J’ai connu Hugh Puyau, le réalisateur, car on était dans la même promo à l’ESRA Bretagne à Rennes. À l’époque, pour moi, c’était juste un gars sympathique qui bossait en permanence sur un gros projet sur Superman, dans lequel il jouait lui-même le rôle principal : Man Of Tomorrow. Ça a duré 4 ans, avec un tout petit budget, mais une profonde motivation. Un mec qui avait des couilles quoi, un passionné, un acharné ! Mais on s’est mieux connu quand on a eu un PVT et qu’on s’est mis en colocation à Montréal. Au bout d’un certain temps, entre février et mai 2015, alors qu’il faisait -35°c dehors, et que notre autre coloc se tapait une stripteaseuse lesbienne chanteuse d’opéra et virtuose en yoga, Hugh m’a demandé si je voulais faire le Joker dans son prochain court métrage. J’étais chaud pour faire le fou, même s’il savait que je n’étais pas acteur : je n’ai jamais joué dans un film de cinéma, à part de la figuration, ou du secondaire, pour dépanner. Le Réveil est mon premier et seul rôle au cinéma.

Comment as-tu préparé le rôle ?

Jokerock : Je ne l’ai pas préparé. Je l’avais déjà : Hugh m’a choisi parce que je suis en permanence en train de faire « des trucs ». Promener en ville un serpent en plastique avec une laisse, par exemple, quand j’avais fait ça, ça l’avait fait rire. Sacrifier solennellement un chien en peluche avec un énorme pistolet en plastique multicolore dans une église bourrée de touristes, me déverser sur moi-même à genou un bidon d’essence rempli d’eau dans une station de métro bondée puis m’allumer au briquet en faisant semblant de partir en flammes, danser tout nu dans un cimetière en plein jour, etc. Pour moi c’est la vie de tous les jours.

Par contre, on a fait deux ou trois répètes avec Lison Lavoie (Harley Quinn), mais c’est pas essentiellement mon truc. Je me rappelle plus un dimanche au resto où on mangeait ensemble, et où j’ai demandé poliment à la serveuse où je pouvais trouver un magasin ouvert où je pourrais acheter une pelle et un sac de taille humaine. Ou plusieurs fois où je me baladais en Joker en centre ville, j’effrayais les enfants en criant, je draguais les filles qui voulaient des selfies, et lançais des rires monstrueux quand on m’interpellait. Une autre fois, je courais en pleine rue en vociférant, un énorme couteau de cuisine levé en l’air, les gens n’en revenaient pas. Mais entre nous, j’avais les boules de jouer avec des acteurs pro, qui avaient de l’expérience.

Ce qui est fantastique avec ce personnage c’est que chaque comédien le façonne à son image. Les interprétations de Jack Nicholson, Heath Ledger et de Jared Leto sont incomparables. As-tu étudié le jeu de ces différents acteurs ?

Jokerock : Alors, je dois d’abord préciser que je ne suis pas cinéphile. Mais j’ai vu ces trois films une fois. J’ai regardé le jeu des Jokers. Ça va paraître bizarre, mais mis à part que j’ai bien aimé, ce n’est pas vraiment allé plus loin. Par contre tu as totalement raison, je te cite car c’est bien dit : chaque comédien façonne le Joker à son image.

Comme je le disais précédemment, ces trois interprétations sont incomparables, mais si tu devais en retenir qu’une laquelle serait-ce ?

Jokerock : Jack Nicholson en Joker et l’univers de Tim Burton ont marqué mon enfance. Mais je dois avouer que Heath Ledger m’a le plus impressionné, surtout quand j’ai appris qu’il était mort peu après. Il n’est pas dans les club des 27, mais il a quelque chose de l’artiste tragique, et son histoire est vraiment captivante.

Pour notre part impossible de choisir entre Jack Nicholson et Heath Ledger, quant à Jared Leto nous espérons en voir davantage dans les prochains films avant d’émettre un avis. Qu’as-tu pensé de son jeu dans Suicide Squad ?

Jokerock : Précisons d’abord que Jared Leto est un grand acteur. Le pire, c’est que Suicide Squad est sorti après le tournage du Réveil, qui a eu lieu sur une seule nuit le 3 juillet (anniversaire de la mort de Brian Jones, Jim Morrison, et sacrement de Hughes Capet, entre autres), à part quelques impros et reshoots qu’on a intégrés. Mais je ne m’attendais pas à un Joker comme ça, que je trouvais trop bien habillé, trop bling bling, trop patron de boîte cocké. Il y a un côté subversif dans le Joker que je n’y trouvais pas, il était trop normal, pas assez étonnant. Il y a beaucoup à dire. Mais en plus j’ai trop senti le poids de l’industrie cinématographique, et le montage final a apparemment été parasité, voire foutu en l’air, par des problèmes internes au projet. Ça aurait pu être un joyau. Ils auraient du laisser plus de scènes où il joue. En résumé : j’adore l’acteur, mais pas le personnage tel qu’il apparaît.

As-tu envoyé des rats en guise de cadeau aux autres comédiens comme Jared Leto sur le tournage de Suicide Squad (rires)?

Jokerock : Non, parce que je trouve les rats mignons, et du coup je trouvais ça trop gentil. Par contre j’ai envoyé un poème un peu terrifiant à Lison Lavoie, alors qu’elle me connaissait à peine encore. Il est sur Youtube, il est intitulé « La Reine du Sabbat ». J’ai joué avec ma voix pour le faire, et j’ai improvisé de l’orgue au synthé, en appuyant partout, parce que je joue comme une merde, mais avec fierté.

Peux-tu nous en dire plus sur ses poèmes ?

Jokerock : J’écris tout le temps des poèmes, depuis mes neuf ans. À vrai dire, je suis poète à l’origine, et je ramifie mes expressions à travers le cinéma, la musique, et l’écriture principalement. Donc sur le tournage, j’ai écrit un poème qui reprend le « Notre Père » mais en version Joker, crade et presque satanique.

Pouvons-nous partager l’un des poèmes avec nos lecteurs ?

Jokerock : Avec plaisir. « Arkham / Notre mère qui est sous terre / Que ton nom soit consumé / Que ta cruauté soit fête / & que veines saignent / Sur la chair comme au fiel / Donne-nous aujourd’hui / Notre sang de cette nuit / Ordonne-nous les souffrances / Comme nous les rendons à ceux / Qui nous ont fait souffrir / & Enivre-nous du mal / Âme-Haine / – Joker »

Ce qui est surprenant dans ton interprétation c’est que nous pouvons la qualifier d’un savant mélange du jeu de Vincent Cassel avec le Joker des animés. Il y a un quelque chose de Vincent Cassel dans ta gestuelle (rires).

Jokerock : C’est bien drôle que tu dises ça, je n’y avais même pas pensé ! En réalité, j’ai des problèmes de santé qui font que je suis assez convulsif, avec des spasmes, je me tords souvent, j’ondule comme une chrysalide. Avec le rôle, je l’ai un peu exagéré. Mais j’adore Vincent Cassel, vraiment, tout ce qu’il fait, et là, d’ailleurs, un film avec lui me vient en tête : Notre Jour Viendra de Romain Gavras. Ça c’est de la bombe atomique. Les Jokers des dessins animés, je ne les connais pas beaucoup, mais j’ai regardé un peu, et j’adore. Hugh m’a filé aussi trois classiques de la BD où on retrouve Joker au sommet de son art : Batman tome 3 – le deuil de la famille ; The Killing Joke ; et bien-sûr Arkham Asylum, par l’excellent Grant Morrison et le talentueux Dave McKean.

Et comment as-tu préparé le fameux rire du Joker ? Il est génial, félicitation.

Jokerock : C’est cool, parce que c’est mon rire, ou plutôt, un de mes rires. Je ris comme ça depuis… le début de mon adolescence au moins ? J’ai plein de rires différents. J’adore éclater de rire partout, de façon cruelle, de façon hystérique, j’adore gueuler, vociférer, rugir. Bref, je n’ai pas eu à le chercher ni à le travailler, je l’utilise tous les jours depuis presque 10 ans.

Aurions-nous le plaisir de te revoir dans la peau du Joker ?

Jokerock : J’espère ! Hugh a plein de projets, mais j’ai super envie d’inventer plus en profondeur ce personnage. Il y a tellement de trucs à faire ! Un court métrage ne suffit pas ! Puis, en plus d’être un très bon ami, c’est un réalisateur que j’estime, il sait exactement diriger les acteurs, et il est totalement impliqué, comme si sa vie en dépendait. Pendant notre première répétition avec Lison, j’étais en stress total, et j’essayais de faire le Joker. Très vite, il m’a interrompu, et il m’a dit : « Non. Ne fais pas le Joker. Fais TOI. » Et là j’ai déstressé et j’ai pu tout donner. Être acteur, ici, consistait à être tout simplement soi-même.

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Qui dit Joker dit Harley Quinn. Nous avons découvert Lison Lavoie dans « Le Réveil » elle est également fantastique dans le rôle de Harleen Quinzel. As-tu un message à lui transmettre ?

Jokerock : Bon, j’attendais cette question. Je sens que le cœur de Lison se met à s’accélérer en lisant ces lignes. Elle sait que je peux dire des énormités, mais je ne le ferai pas. D’abord, c’est une actrice que j’adore, je la sens comme une étoile montante, elle a un énorme potentiel. Ça a été extraordinaire de jouer avec elle. Elle semble choper le rôle d’un coup, même si elle l’a travaillé, elle prend des initiatives, propose des idées intéressantes. C’est elle qui a notamment créé et proposé la petite chansonnette quand elle déambule parmi les cadavres.

Elle est faite pour ça. Puis, c’est une amie qui m’est chère. Et ce qui est bien, c’est que quand je suis en sa compagnie, j’ai autant envie de la baiser que de la tuer. J’avais écrit un jour un poème avec une expression qui fait sens ici : « Je te monte ou je te descend ». J’aime l’étrangler, et elle s’y est habituée, son cou est particulièrement bien fait pour ça. Évidemment, c’est du jeu, hein, on est pas sado ou maso !

D’ailleurs, c’est nous qui avons proposé à Hugh que j’étrangle Harley pendant son dialogue avec Joker. Je me souviens quand Hugh nous a dit d’improviser une scène (il adore nous faire improviser, et c’est là où on est à notre summum, je trouve) où elle tue Robin au katana, ce qui est montré de façon subliminale dans le film. Pendant qu’elle le transperçait à répétition, ses cris à elle ressemblaient à des orgasmes, et moi j’étais en train de me branler en tirant la langue, en grommelant et en couinant comme un chien, tandis que le sang de Robin giclait sur la face de Lison ! C’était, métaphoriquement, très sexuel et malsain.

Peux-tu nous parler de ton actualité, tes projets en cours ?

Jokerock : Je suis poète, mais comme je l’ai déjà dit, j’exprime ma poésie aussi par le cinéma et la musique. Donc je suis sur un prochain recueil de poèmes là, intitulé « Triomphe de la Musique ». J’ai aussi créé ma propre façon de faire du cinéma, que j’ai appelée la « cinémagie ». J’ai déjà réalisé deux films en ce sens, Armorika (40min, 2014) et Les Lumières du Mont Royal (22min, 2015), et mon prochain sera tourné l’année prochaine, et s’intitulera « ORGIE ».

Aussi, comme je chante et compose, je vais me trouver un groupe pour faire de la musique ! Quand je suis en studio, en répète, ou sur scène, je suis en extase direct ! Reste plus qu’à trouver des musiciens avec qui partager mes trips. Puis, Le Réveil a été sélectionné pour un festival à Los Angeles, et on va faire un tour en Californie pour faire de la promo, et peut-être trouver des gens intéressés par nos futurs projets.

Parlons un peu de tes gouts culturels, quels sont tes films et les personnages de pop culture favoris ?

Jokerock : Ça varie selon les époques de ma vie. Mais là mon film préféré est sans conteste « La Légende de la Libido » (Garoojigi) du réalisateur coréen Shin Han-Sol. Sinon, niveau cartoon, j’aimais bien Bugs Bunny, j’ai d’ailleurs été Bugs Bunnyen pendant un an, quand je vivais au Québec. Ma bible était ses épisodes des Looney Tunes, je créais des rituels magiques à partir de son symbolisme, et je fondais mes attitudes en fonction de son comportement. C’était à l’époque où je pratiquais la magie du chaos. Niveau musique, je ne me lasse pas d’Hazmat Modine, un groupe de New York, et de son chanteur Wade Schuman. Niveau philosophie, comme elle a été populaire au Québec, j’aime certains aspects du Jovialisme créé par mon ami André Moreau à Montréal. Je t’ai donné un petit exemple pour chaque truc, mais tu sais bien qu’on pourrait s’étendre là-dessus des heures !

Enfin, quel est le rôle de cinéma que tu aurais rêvé / rêverait de jouer ?

Jokerock : Peu m’importe le rôle, tant qu’il me donne l’occasion de déployer ce que je suis déjà. Mais dans un grand nombre de mes rêves, je suis un assassin, un hors la loi, un exilé. J’aime la violence, quand elle est créatrice ou libératrice. Je m’explique. J’ai été interné de force à l’asile, dans ma vraie vie, et j’ai rêvé chaque nuit de tuer mon psy, tellement ça a été un enfer pour moi. Or, Hugh a appris ça, et m’a suggéré de prévenir Pascal Orveillon, mon psy que je tue sauvagement dans Le Réveil, histoire qu’il n’y ait pas d’incident. J’en parle à Pascal, qui prend ça très bien, et qui rajoute qu’avant de se lancer dans sa carrière d’acteur, il avait été infirmier dans les hôpitaux psychiatriques ! En gros, grâce à ce film, j’ai pu théâtralement tuer mon psy, et m’échapper de l’asile. Et bien, croyez moi, l’effet a été plus que réel, et ça fait foutrement du bien. Je N’AI PAS JOUÉ ce rôle, il était d’abord totalement vécu, et Hugh a eu le flair, voilà tout.

As-tu un message pour toute l’équipe du « Réveil » ?

Jokerock : Je les félicite et les remercie tous et chacun en particulier. Le tournage s’est super bien passé, de la régie à la direction d’acteurs, en passant par le maquillage et la décoration, et évidemment la lumière et le cadre. La pré-production a été très bien gérée, et la post-production a été super efficace et créative. Je rappelle que c’est un court métrage bénévole, réunissant tout un générique de personnes animées par leur seul plaisir, et motivées par la passion à toute épreuve de notre ami Hugh Puyau. Un moment important de ma vie, mon premier film en tant qu’acteur, où on a pris notre pied sans se prendre la tête.

Pour conclure, quelle question aurais-tu souhaité que l’on te pose et qu’aurais-tu répondu ? (cette question est notre signature, généralement on nous répond quelque chose de marrant.)

Jokerock : J’aurais souhaité que vous me posiez, justement, cette question, et que je vous réponde cette réponse. Comme ça, la boucle est bouclée, et ça n’a aucun sens. Du pur Joker, quoi !

Nous sommes arrivés à la fin de l’interview, encore merci pour tout Jokerock.

Jokerock : Je vous remercie pour cette entrevue tout en finesse et en sobriété.

La page Facebook DC Shorts.

Propos recueillis par Thomas pour Eklecty-City.fr, qui remercie Jokerock pour s’être prêté au jeu d’une interview.

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Thomas
Thomas
Rédacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des années 80's / 90’s biberonné à la Pop Culture.

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